lundi 30 juillet 2007

Plus récent.


On aperçoit en haut l'antenne de radio Constantine.

D'environ 1900


Pour Marie 06 en particulier.

dimanche 29 juillet 2007

Les ambulants

Et qui se souvient du: " YA RIEN A VEEEEEEENNNNNNNNDRE ? " ou " IGUISOR COUTEAUX CISEAAAAAUUUUUX ! " ou encore " CAOUCAOU GERMECH !" et ceux qui passaient avec leur machine à carder pour réparer ou aéerer les matelas. Sans parler du " YA LI TAPIIIIIIIS !
Tout un monde qui a fait notre jeunesse

vendredi 27 juillet 2007

Boussadia


La terreur de nos 10 ans

Le Monument aux Morts par JPS


Au moment ou Yvan évoquait la statue de La Moriciére éloignée de nous, oubliée même, dans la douceur Angevine, cet Arc de Constantine, qui domine la ville, monuments de tous les morts, restera un defi millénaire contre l'oubli de la présence française et du sacrifice de ses enfants de toutes origines et confessions. Seule peut-être un jour la folie des talibans algériens pourra le détruire pour tout ce qu'il représente de symboles forts.
Que Dieu nous protège de connaître un tel crime à la mémoire de tous ceux vivants et morts qu'ils a fraternellement rassemblés...
.jps

mardi 24 juillet 2007

Historique /2

Historique /1

Pas de jeans taille basse !


Peut-être un Grand Père ou un Père se trouve parmi eux !

dimanche 15 juillet 2007

Il y a longtemps.


Je suis né là !!

Rue Pinget


On ne voit pas la flêche, alors je me permet de situer le début de la rue Pinget, qui est caché et quelques dizaines de metres plus bas.

samedi 14 juillet 2007

j'etais là !!

au bout de la fleche , le 7 rue pinget , j'ai toujours habité là !



La purée de. . .


Peut-être que beaucoup plus le regarderont!

mardi 10 juillet 2007

Félicitations

Merci Dédé pour ce blog et longue vie à lui .

Allez c'est promis on va s'y mettre et le faire vivre .

Si chacun(e)fouille dans ces archives mailistiques et les photos échangées depuis des années sur le net et publie ici on va pas s'ennuyer.

Guy B

Nostalgie quand tu nous tiens…..par Marie06

Nostalgie quand tu nous tiens…..

le paquebot commence à prendre le large.
Peu importe son nom, on sera du voyage.
L’escorteur qui l’accompagne corne au loin pour le saluer,
Sur le pont nous voyons notre terre s’éloigner,

La tristesse se lit sur tous les visages,
Mais sommes nous prêts à devoir tourner la page,
Oublier cette terre qui nous a tant bercée
Et au fil des ans que l’on a tant aimé.

Se résigner ou ruminer sa rage !!!
Il faut affronter son destin avec force et courage
Il reste un jour pour atteindre l’autre rive.
Trop jeune encore pour comprendre ce qui arrive

Traversée obligée, patrie à découvrir, gens d’ailleurs,
Tout est à refaire, avec un pincement au cœur,
Il va falloir retenir ses larmes, et briser nos chaînes
les mois et les années estomperont nos peines,

Le chagrin est moins lourd à porter à plusieurs…
On ouvre alors ses bras et son cœur.
Comme une portée de chiens nous seront séparés
La famille, les amis, aux quatre coins éparpillés,

grâce au clavier on se distille un peu d’amitié
parler de nos souvenirs et de nos beaux quartiers.
Ce site est pour nous une vrai mine d’or
qu’il faut exploiter encore et encore…..

MARIE 06
A propos du Globe.
Je n'ai jamais été témoin de ce que je vais vous narrer et je ne veux dénoncer personne, bien sûr.

Il paraîtrait qu'une bande de garnements de St-Jean et de Bellevue allait régulièrement faucher des trains électriques merveilleux dans le "Grand Magasin du Globe". Quand le réseau ferroviaire fut presque complet, ils tentèrent à tour de rôle d'acheter des rails, pour admirer enfin leur beau joujou en marche.
Hélas ! trois fois Hélas ! Le vendeur du rayon jouet posa des questions si précises sur le type de locomotive, l'année de l'achat, la taille des voitures etc... que les petits chenapans partirent sans demander leur reste, ça tournait carrément à l'interrogatoire.
Comme il faut une morale, tous ces jeunes gens se contentèrent d'admirer leurs wagons et autres locomotives sans jamais les faire circuler.

Mais j'ai un doute. Y avait-il des chenapans à l'époque ?
Jeanne

lundi 9 juillet 2007

dimanche 8 juillet 2007

ça y est ! je suis inscrite !!!

certes mon 1er message n'apportera rien de typique sauf de vous faire savoir que Chantal - Kiklik a trouvé le mode d'emploi , et que je vais fouiner aussi au fond des neurones etc pour raconter des histoires de notre enfance !

Archives sur le magasin du GLOBE













samedi 7 juillet 2007

Hommage à toutes les victimes par JPS

Verrières le Buisson le 5 juillet 2007 11h
Hommage à toutes les victimes au Monument aux Morts.

Mes Amis

Cérémonie pleine d'émotion à Verrières le Buisson ( 91) avec le témoignage direct du dernier Maire de St Denis du Sig raflé avec des centaines d'autres dans le centre d'Oran .<< En longues files, des civils, hommes, femmes, enfants, sont tenus "en joue" par des hommes en armes, en face de l'hôtel Martinez le vendredi 6 juillet 1962 .Profitant d'une manoeuvre d'un camion je m'échappe avec un autre compagnon d'infortune juste avant d'être embarqués dans un camion du FLN. Réfugiés à l'hôtel Maugin juste en face du Martinez je vois nos poursuivants abattrent froidement le propriétaire de cet hôtel et une autre personne d'une balle dans la tête....>>
Lire un texte d'hommage après ce bouleversant témoignage ! ! ...... Nous l'avons lu tous ensemble, les yeux embués, la gorge nouée dans une profonde et forte communion de pensée pour tous ceux qui n'ont pas eu la chance de s'échapper ..... Merci mes amis vous qui avez, là ou vous étiez, participé dans le recueillement à cet hommage national. Vous avez, partout en France et en nombre témoigné de votre solidarité avec les familles mais aussi exprimé votre besoin de vérité et de justice à l'egard de ces miliers de "disparus" d' aprés le 19 mars 1962. Merci aussi " Au Ciel", mon dernier fils Olivier 23 ans ,était à nos côtés et a entendu ce Vétéran de notre communauté ( 86 ans) pourtant aguerri par bien des épreuves de sa vie ,raconter son vécu de ces jours effroyables et sa fuite d'homme traqué jusqu'à l'aéroport. Avec nous aussi dans l'assistance un parent direct de la famille Sid Cara témoignage de cette possible " Algérie nouvelle" que la félonie a étouffée dés sa naissance, mais aussi présence qui nous rappellait ô combien a été lourd et douloureux le tribu que le FLN a fait payer aux Algériens qui avaient un jour exprimé leur attachement à la France, et notre Vétéran de témoigner que l'Elu qu'il était avait fait rédiger et signer plus de 300 actes de décés concernant des familles algériennes de sa commune, massacrées dans la seule nuit du 19 mars 1962.......

Bien fraternellement,
Jean Paul Spina

vendredi 6 juillet 2007

Suite photo

Nous c'est la qu'on néné !!!!!


Voici deux vues de l'église de Djidjelli, berceau de ma famille, avant et après 1962.

Sans commentaires.

MEUUUUH NON, Yves, c'est pas Belle-vue, c'est Saint-Jean, en plus on voit très bien ma maison natale.

Connexion


J'ai eu un klein problême avec mon mot de passe qui n'était plus reconnu. J'ai réinitialisé ce dernier et tout est rentré dans l'ordre, OUF ! J'ai cru qqu'il y avait un piquet de grève qui m'empêchait d'entrer.
En prime, souvenirs, souvenirs.

mardi 3 juillet 2007

Belle vue


Sans commentaire !


C'était la vie en rose,comme la Rue Rol et sans ballets.
http://www.dailymotion.com/relevance/search/les+ponts+de+chez+nous/video/x1as2f_sous-les-ponts-de-chez-nous

savourez cet extrait de poème.


comme on a le droit de ne pas se cantonner à nos souvenirs d'Algérie , je pense que ces quelques lignes écrites par ce "monument" qu'était Victor HUGO réveilleront de beaux souvenirs en chacun de vous.( pour ma part cela évoque les soixante ans de mariage de mes parents, au cours du repas, ma maman (87 ans), nous a récité ces vers admirables par coeur, soulevant plein d'émotion de toute sa nichée, elle nous quittait 4 mois plus tard.)

Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte,
Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte,
Et du premier consul, déjà, par maint endroit,
Le front de l'empereur brisait le masque étroit.

Alors dans Besançon, vieille ville espagnole,
Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole,
Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois
Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ;
Si débile qu'il fut, ainsi qu'une chimère,
Abandonné de tous, excepté de sa mère,
Et que son cou ployé comme un frêle roseau
Fit faire en même temps sa bière et son berceau.

Cet enfant que la vie effaçait de son livre,
Et qui n'avait pas même un lendemain à vivre,
C'est moi. -Je vous dirai peut-être quelque jour
Quel lait pur, que de soins, que de voeux, que d'amour,
Prodigués pour ma vie en naissant condamnée,
M'ont fait deux fois l'enfant de ma mère obstinée,
Ange qui sur trois fils attachés à ses pas
Épandait son amour et ne mesurait pas !
Ô l'amour d'une mère ! amour que nul n'oublie !
Pain merveilleux qu'un dieu partage et multiplie !
Table toujours servie au paternel foyer !
Chacun en a sa part et tous l'ont tout entier !

Extrait de « ce siècle avait deux ans » de VICTOR HUGO




petit à petit

Bonjour,
Peu à peu l'idée de blogger s'installe. J'espère que nous serons très nombreux à participer et que tout ce qui paraîtra dans ce blog enrichira encore notre mémoire. Ne soyons pas timides, chaque lieu ou moment évoqué réveille une multitude de souvenirs et nourrira encore le Grand Livre de notre histoire.
Merci à André et Josette pour votre idée lumineuse.
A bientôt et n'hésitons plus .
Jeanne

lundi 2 juillet 2007

ESSAI sur le blog

Petit essai, bonjour à tous. test rajouté par DD pardon Vivan !

Saint Pierre

Pauvre Pétronille,il était bien méchant Saint Pierre.

et en plus la emboucannée !!! peuchere !!!! La preuve :



Couscous par JPS

Décidemment la nostalgie vous prend les tripes et c'est la révolution du" palais "dominicale....
Les CGTistes sont -t-elles d'accord pour rouler la graine pendant que les "renifleurs" se roulent les pouces .....? ?
Hier nous étions nous aussi en "situation extrême" de manque et nous avons terminé après une indigestion d' Algérie à toutes les sauces littéraires devant un plantureux couscous aux garnitures traditionnelles du
bled ( oesbahne: ( phonétique ok mais ortho improvisé) recette juive constantinoise boulettes / andouillettes de panses de mouton aux herbes + les traditionnelles d'accompagnement, agneau, merguez etc...
.ya r'hamdoul'Allah....
En effet,les Bianchi, Claude et Catherine, à Paris pou
r quelques jours, nous nous sommes retrouvés pour passer la matinée au 13e salon "Maghreb des livres" , la plus grande librairie spécialisée sur tout ce qui est écrit sur l'AFN, depuis les livres de recettes en passant par tout ce qui concerne l'histoire notamment de Algérie à toutes les époques .( de l'antiquité à 2007 vu par tous les acteurs / témoins/ spécialistes depuis les porteurs de valises jusqu' aux anciens commandos delta etc. et bien entendu livres de photos ,artistiques , touristiques , archéologiques .....il y en a pour tous les goûts)
Ce salon est organisé tous les ans par l'association Coup de soleil que préside ce renégat confirmé et malhonnête de Georges Maurin "enfant de Bellevue " avec qui, en présence de Salim nous avions eu des confrontations orageuses, suite au soutien inconditionnel qu'il avait apporté au prétendu historien Benjamin Stora lors d'un débat ou encore une fois, il vomissait sur la présence française en Algerie.
Malgré les" crises d'urticaire" qu'il provoque
C'est toutefois un salon à ne pas manquer, et j'ai pu y trouver un guide de l' Algérie et
"Constantine cité antique et ville nouvelle"



Ces deux livres réalisés tout récemment par Marc Cote, un géographe honnête qui a passé 28 ans comme enseignant à Constantine, actuellement professeur émérite à Aix en Provence et qui précise bien dans le bouquin sur Constantine, avec photos à l'appui la "taudification" de cette ville qui connaît depuis l'indépendance un urbanisme anarchique qui l'encercle , l'étouffe sans plan directeur, sans aucune action coordonnée ( transports, circulation, eau , électricité écoles, commerces seulement le système D et l'arnaque :


vente de l'eau au bidon de 5 litres
organisée par la mairie avec des arroseuses municipales qui viennent aux pieds des immeubles.... épidémie de typhoïde l'ete dernier) etc.. .Il explique surtout très bien ,les vrais raisons des glissements de terrains qui sévissent dans toute la ville , pas seulement à St jean puisque des cites entières toutes nouvelles comme celles du quartier Boussouf en contrebas du cimetière musulman sont elles aussi menacées d'écroulement.
Je le cite parce vous vous souvenez de la polémique que nous avions engagée en face de la thèse défendue à Strasbourg par ce scientifique de salon Benazzouz (cousin éloigné du moins par la pensée de Salim) qui déclamait devant un parterre de profs gauchos que la "construction coloniale à la va vite" s'était faîte sur des terrains non stabilisés et que Constantine payait aujourd'hui cet empressement de colonisation de peuplement décidé par la France des 1837 . Marc Cote dans son livre page 64 écrit: que:<<>>
...Voilà mes amis comment du traditionnel couscous on glisse.....dans la
merde du Constantine actuel . Désolé d' avoir perturbé le rythme de vos badinages que je lis toujours goulûment, ( surtout quand ils incitent à se remettre en selle) vous me le pardonnerez j'en suis sur, parce que vous savez tous et toutes que quand j'ai un peu de temps je ne suis pas le dernier a y apporter ma pierre.
Bon dimanche à tous . A Paris nous avons un temps affreux : pluie et vent....et la TV nous réserve un programme festif:! ! !.... Bécassine fait des promesses; le grand Sarkopera, Bernadette fait ses cartons........
A+++ JPS

dimanche 1 juillet 2007

Sainte Petronile par Jeanne

Pétronille, dont saint Marcel a écrit la vie, était la fille de l’apôtre saint Pierre.
Elle était d'une beauté extraordinaire et elle souffrait de la fièvre par la volonté de son père, or, un jour que les disciples logeaient chez saint Pierre, Tite lui dit : « Puisque vous guérissez tous les infirmes, pourquoi laissez-vous Pétronille souffrante? » « C'est, répondit saint Pierre, que cela lui vaut mieux : néanmoins, pour que l’on ne puisse pas conclure de mes paroles qu'il est impossible de la guérir, il lui dit: « Lève-toi promptement, (127) Pétronille, et sers-nous. »
Elle fut guérie aussitôt, se leva et les servit. Quand elle eut fini de les servir saint Pierre lui dit : « Pétronille, retourne à ton lit. »
Elle y revint aussitôt et la fièvre la reprit comme auparavant : mais dès qu'elle eut eu acquis la perfection dans l’amour de Dieu, il la guérit complètement.
Le comte Flaccus vint la trouver afin de la prendre pour femme à cause de sa beauté. Pétronille lui dit donc : « Si tu désires m’avoir pour épouse, fais-moi venir des vierges qui me conduisent jusqu'à ta maison. » Comme il s'en occupait, Pétronille se livra au jeûne et. à la prière, reçut le corps du Seigneur, se coucha et trois jours après elle rendit son âme à Dieu. Flaccus, se voyant déçu, s'adressa à Félicula, compagne de Pétronille, et lui intima ou de l’épouser ou de sacrifier aux idoles
Comme elle refusait de consentir à aucune de ces deux propositions, le préfet la fit mettre en prison où elle n'eut ni à manger ni à boire pendant sept jours, après quoi il la fit tourmenter sur le chevalet, la tua et jeta son corps dans un cloaque. Cependant saint Nicodème l’en retira et lui donna la sépulture.
En conséquence, le comte Flaccus fit appeler Nicodème et comme celui-ci refusait de sacrifier, il le battit avec des cordes chargées de plomb. Son corps fut jeté dans le Tibre., mais son clerc Juste l’en ôta et l’ensevelit avec honneur